L’Easy-Glider, le nouveau moyen de transport écologique dans les rues troyennes.

 

Les Troyens ont pu découvrir un étrange engin dans les rues de notre ville. Futuriste, écolo, branché, il s’agit de « l’easy-glider » commercialisé par l’excellent magasin City-Bikes, à Saint-Julien.

Ce nouveau mode de transport conçu en Suisse est disponible en France depuis juin 2008.

« L’Easy-Glider » est a mi-chemin entre la trottinette et le scooter. Il est extrêmement facile à prendre en main et à manier. Il peut atteindre 20 kilomètres/heure avec sa batterie de 220V que l’on rechargera tout simplement sur une prise électrique.

Il sera toléré sur les pistes cyclables et sera vendu dans les environs de 800 euros.

Toujours à la pointe de la nouveauté et des modes alternatifs et écologiques, c’est donc le magasin City-Bikes, situé à Saint-Julien-Les-Villas, qui nous a offert cette démonstration et commercialise désormais ce nouveau véhicule.

 

 

Une maison qui recharge la voiture

La Maison France confort 2020 a été présentée mercredi à Saint-Priest. Elle sera commercialisée à la fin de l’année

A Saint-Priest, un pavillon écologique et ultramoderne produit assez d’énergie pour l’habitat et le déplacement

Une maison sans impact, qui préfigure l’habitat de demain, vient de sortir de terre à Saint-Priest, près de Lyon. Surmontée de panneaux photovoltaïques et doté de technologies dernier cri (pompe à chaleur, domotique, purificateur d’air), ce pavillon de 168 m2 produit assez d’électricité pour le chauffage, les usages domestiques et même pour se déplacer. Une voiture électrique BMW sera vendue avec la maison. « Dans notre vie quotidienne, le véhicule individuel devient vite indispensable », justifie Hervé Chavet, de Maison France confort, porteur du projet.

Le chauffage et l’éclairage s’adaptent à l’occupant
En arrivant chez lui, le propriétaire de la maison branchera sa voiture électrique dans le garage. En trois heures, il se recharge grâce au photovoltaïque, pour atteindre une autonomie de 160 kilomètres, bien assez pour les trajets du quotidien. Des capteurs détectent la présence des habitants pour adapter le chauffage ou l’éclairage. Pour le lave-linge, les toilettes ou l’arrosage des plantes, un système récupère et filtre l’eau de pluie. Cette maison innovante sera commercialisée à la fin de l’année, mais son prix n’a pas encore été dévoilé.

La voiture se fait discrète, écolo et maligne

La Chevrolet EN-V

Les constructeurs planchent sur des adaptations pour adapter leurs véhicules aux villes durables.

Pollution atmosphérique, réchauffement climatique, prédation d’espace : la voiture est l’ennemi des villes durables. Pourtant, il sera difficile de s’en passer. Les constructeurs planchent sur des adaptations.
• Electrique
Fini les particules fines. Et si l’électricité est d’origine renouvelable, on peut réduire à zéro les émissions de gaz à effet de serre. Citroën C-Zéro, Nissan Leaf, Fluence ZE sont déjà une réalité, et presque tous les constructeurs ont un modèle dans les cartons. Restent les freins du prix, encore élevé, et de l’autonomie limitée.
• Petite
En ville, les conducteurs sont souvent seuls au volant de leur voiture. La Renault Twizzy ne propose que deux places au lieu de quatre, pour des véhicules plus légers et plus faciles à garer. La Chevrolet EN-V est même verticale sur deux roues. Selon General Motors, on peut en garer six sur une place de parking. Elle sera testée dans la ville de Tianjin, en Chine.
• Intelligente
Le cauchemar de tout automobiliste, c’est les bouchons. La Toyota Prius a développé avec Google un système de conduite automatique : la voiture « voit » le trafic et adapte sa conduite et ses itinéraires.

Conduite à la maternité grace a Autolib’ !

Non non ce n’est pas la pub parfaite pour inciter tous les Parisiennes et Parisiens à se ruer sur l’abonnement Autolib’ (si le nom de ces nouvelles voitures électriques , mais « l’histoire vraie de ma copines Ninon qui vient d’accoucher » disait paul

Dans la nuit du 18 au 19 mars, vers 22h, tout commence par un sacré dégât des eaux. Une douche plus tard, la valise à la main, Ninon débarque dans le salon, prête à aller à la maternité. GROS HIC, son chéri n’arrive pas à trouver de taxi libre… Dans la série, je-ne-panique-pas-sinon-je vais-accoucher-sur-le-parquet, Ninon prend en charge les opérations et rappelle à son jules qu’ils possèdent une carte Autolib’, justement prise pour faire les déplacements à la maternité. Mais les chéris, dans le stress ça oublie tout, c’est bien connu   Les futurs parents filent à la station, située  à une petite rue de leur appartement . En 15 min, les voilà arriver à bon port.

5  heures plus tard, une mini-princesse de 3 kg pointe le bout de son nez.

Bienvenue au monde jolie poupée !

Moi, je sais déjà l’anecdote que je te raconterai sur ta naissance…

Loueurs de voitures et écolos attaquent Autolib’

«La voiture n’est pas la solution en ville ! » Quatre jours avant le lancement d’Autolib’, les critiques se multiplient. L’association Les Amis de la Terre dénonce aujourd’hui une opération « plus vert que vert », d’apparence irréprochable mais en réalité désastreuse sur le plan environnemental (lire encadré).

Plusieurs communes réfractaires
Plus largement, les écologistes sont plus que jamais dubitatifs quant au déploiement de ces voitures électriques en libre-service présentées comme « respectueuses de l’environnement ». Dès le début, les élus Europe écologie-Les Verts (EELV) ont craint que le service n’encourage l’usage de la voiture au détriment des modes de déplacement « doux ». C’est la raison pour laquelle certaines communes, dont Montreuil (Seine-Saint-Denis), refusent de rejoindre le mouvement. « Nous craignons que les gens prennent Autolib’ pour aller travailler au centre de Paris et que des agents doivent ramener les voitures à la périphérie à vide, en consommant de l’électricité, explique Fabienne Vansteenkiste, adjointe (EELV) à la maire de Montreuil chargée des déplacements. En plus, le service coûte cher. Mais s’il apparaît que les utilisateurs se séparent de leur voiture, nous nous raviserons. »
De son côté, l’Union des loueurs professionnels (Ulpro) attaque Autolib’ devant le tribunal administratif pour « concurrence déloyale ». « Autolib’ reçoit 250 millions de subventions et prêts publics pour ce qui n’est ni plus ni moins que de la location de véhicule », s’insurge Christophe Plonevez, président de l’Ulpro. Si le tribunal donne raison à l’Ulpro, l’exploitation d’Autolib’ pourrait connaître un coup d’arrêt. Réponse dans quelques semaines.